photo LA MELEE NUMERIQUE

LA MELEE NUMERIQUE

Manifestation culturelle

Toulouse 31000

Du 22/09/2025 au 27/09/2025

Plus de 500 intervenants nationaux et internationaux sont attendus, avec la présence annoncée de personnalités comme Clara Chappaz, ministre déléguée à l’IA, Véronique Torner, Henri d’Agrain, Luc Julia, Gilles Babinet, Laurent Alexandre et bien d’autres. Au programme : conférences, tables rondes, ateliers pratiques, démo-tech, sessions networking, compétitions, et remises de trophées (Femina Numérica, Homo Numéricus…) La semaine s’ouvre avec un Café IA, initiative portée par France Num, pour démocratiser l’intelligence artificielle auprès des TPE‑PME et du grand public. La journée Mêlée Tech (le 26 septembre) est dédiée aux technologies émergentes : IA appliquée au développement, cybersécurité, langages, architectures réseau, automatisation, etc. Elle propose aussi un hackathon “IA for Impact” les 26 et 27 septembre, où étudiants, développeurs et professionnels relèvent des défis à impact positif L’événement est gratuit, mais sur inscription préalable, accessible aussi bien en présentiel qu’à distance pour offrir une large portée nationale et internationale

photo EXPOSITION SIAH ARMAJANI (PRINTEMPS DE SEPTEMBRE)

EXPOSITION SIAH ARMAJANI (PRINTEMPS DE SEPTEMBRE)

Lecture - Conte - Poésie, Exposition

Toulouse 31000

Du 17/09/2021 au 21/11/2021

Siah Armajani (1939-2020) est un artiste américain d’origine iranienne. Inquiété par la police du Shah, il émigre aux États-Unis au début des années 1960 et s’établit à Minneaoplis. Son oeuvre américaine commence par des toiles entièrement recouvertes d’écritures manuscrites en farsi qui peuvent évoquer Pollock, Tobey ou certaines peintures lettristes. Dans le contexte culturel et linguistique où il est soudain plongé, il s’agit pour lui de sauver sa mémoire de la poésie persane dont il est nourri. Puis, Siah Armajani va déplacer son travail vers les problématiques de cette époque. Il contribue ainsi aux développements de l’art conceptuel en participant à plusieurs de ses expositions fondatrices. Mais ses réflexions politiques et philosophiques sur la démocratie américaine et ses penseurs (Jefferson, Emerson, Thoreau, Dewey, etc.) l’éloignent de ce type de pratique artistique et de cette idée de l’art. Il entame alors une vaste enquête sur les formes prises par les architectures sans architectes et celles qu’inventent les ingénieurs. Il s’intéresse au vernaculaire, à l’humble, au simple, à l’utile. Les ponts retiennent son attention. À partir de 1974, il va se définir comme[...]